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Ce qui m’inspire le plus
dans l’idée d’anthropocène,
est l’effet larsen par lequel
l’homme façonne l’environnement,
et les changements induits
façonnent l’homme en retour.


Post-anthropocène

Le microcosme éclate, le minéral revient à son essence, le synthétique fond dans l’organique. 


Les villes jardins

L’essence des villes tient de la même souche que les forêts. Un enchevêtrement chaotique de volontés indépendantes formant un tout cohérent.


Les divergents

Leurs attitudes interpellent et interrogent. Leur environnement devient une projection de leur être, un écho de leur aliénation..


Dénaturation

Alternant désinvolture et noirceur, l’homme évolue dans des paysages altérés; spectateur dubitatif de sa propre création.


Ordinary lives

Êtres captifs d’un monde qu’il leur échappe, pourchassant un rêve au-delà du sens..


The fringe

Zone frontière entre l’urbain et le naturel. Paysages tiraillés entre deux extrêmes, tels les personnages qui les traversent.


Les enfants pâles

Visages imprécis, regard voilé, quasi monochromie. Miroir des malaises et des incertitudes des êtres en devenir..


Hors série